Arsh Hole Al-Assad strikes again!

 “ … and may a camel jump your wife, your daughter, your mother and your sister”

JMD — Bashar al-Assad scotched any suggestion he might flee Syria and warned that any Western military intervention to topple him would have catastrophic consequences for the Middle East and beyond, that the cost of such action would be unbearable.

“I think that the cost of a foreign invasion of Syria, if it happens, would be bigger than the entire world can bear … This will have a domino effect that will affect the world from the Atlantic to the Pacific”.

“I do not believe the West is heading in this direction, but if they do, nobody can tell what will happen afterwards.”

“I am tougher than Gaddafi… I will live and die in Syria.”

Yes indeed Bashar,that is exactly where you are to die and hopefully sooner than later and may a camel jump your wife!

JMD

jmdlive@live.ca

 

Note: The remarks were published in Arabic on Russia Today’s web site before being reported. It was not clear when Assad gave the interview.

 

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Syrie, une tragédie dans l’indifférence?

Des crimes de guerre qui demeurent impunis

Des avions bombardent une ville aux mains des rebelles. Dans un immeuble civil, roquettes et bombes tuent 23 enfants. Des dizaines de dépouilles enveloppées dans des linceuls blancs et des sacs en plastique portant la mention “parties de corps” jonchent les trottoirs. Quelques moments plus tôt, des enfants jouaient dans la rue. Où sont-ils ?

Des avions de chasse syriens larguent des bombes à sous-munitions, des engins de fabrication soviétique, des RBK-250 et des AO-1Sch. Ces bombes tuent de manière indiscriminée. Femmes et enfants, corps démembrés jonchent les rues.

Tout a commencé il y a dix-neuf mois par un mouvement de contestation pacifique contre la dictature de Bachar Al-Assad. L’indignation populaire est devenue révolte et maintenant guerre civile. Pas un jour sans qu’un innocent ne soit tué. Et maintenant? Des attentats aveugles sont perpétrés par des djihadistes. Les morts ne se comptent plus, 20 000? 40 000? Qui sait? Les blessés se comptent maintenant par centaines de milliers.

Des villes entières sont ravagées, des villages sont en ruine, les récoltes détruites. Campés dans les décombres des villes, sans nourriture, sans eau ni électricité, sous le tir croisé de l’armée et de la rébellion, l’hiver sera long pour le peuple Syrien et personne ne s’en préoccupe.

Alors que la Russie, l’Iran, l’Irak et le Hezbollah libanais fournissent armement et assistance militaire au régime de Bachar Al-Assad le truand, l’Arabie saoudite, le Qatar et les Etats-Unis appuient la rébellion en leur fournissant du matériel de communication. C’est avec très peu de succès que les rebelles Syriens réussissent è abattre les avions de Bachar en leur lançant des walkies talkies et des portables. Personne ne livre à la rébellion les armes lourdes et les missiles antiaériens qui lui permettraient de neutraliser la chasse et les hélicoptères de combat du régime.

Tous ceux qui disposent de suffisamment de pouvoir pour mettre fin à ce conflit, Américains, Européens, Chinois et Russes, craignent – avec raison – que ce conflit déborde au delà des frontières de la Syrie. Quel aveuglement, ceci est déjà arrivé. Conséquence de l’absence de couilles, pour les Occidentaux et de l’obstructionnisme opportuniste des Russes et des Chinois, alors que l’on pave les rues de la Syrie des corps mutilés et démembrés de milliers d’innocents, la guerre syro-syrienne s’internationalise. Hier le Liban, aujourd’hui la Turquie, demain la Jordanie. D’un côté l’islam, l’Arabie saoudite  et l’Égypte; de l’autre, les pays non arabes tous alliés des Etats-Unis et de son président émasculé. D’un côté une rébellion syrienne majoritairement sunnite; de l’autre, la branche minoritaire chiite et la République islamique d’Iran, le Hezbollah libanais et l’Irak, tous soutenant Bachar le despote Al-Assad appartenant à la secte alaouite.

Que ce soit pour se tenir à distance du conflit, ou pour appuyer Damas, en Europe, aux Etats-Unis en Russie, en Chine et partout ailleurs dans le monde, on met en avant l’argument de la radicalisation islamiste de l’insurrection. Alors que des innocents sans ressources meurent dans les rues, c’est là beaucoup de masturbation intellectuelle et de diarrhée verbale, pour défendre et justifier l’indéfendable et l’injustifiable.

Des gens meurent, des femmes et des enfants innocents crèvent inutilement! Quoi de si difficile à comprendre ? Plus les combats se prolongeront, plus les djihadistes multiplieront leurs attentats terroristes meurtriers. Plus cette guerre civile durera, plus il sera difficile de gérer l’ère post-Assad. Non ce n’est pas une question de compréhension, tout simplement une question d’opportunisme politique d’une part et, d’absences de couilles d’autre part.

Il est malheureux que je ne sois pas suffisamment fortuné. Des couilles j’en ai mais je n’ai malheureusement pas les moyens. Donnez–moi ces moyens et je vous règle toute cette affaire en moins de deux !

JMD

jmdlive@live.ca

 

 

Syrie: il faut intervenir maintenant!”

Selma désertée

Le gang barbare des Assad et les extrémistes islamistes sont les ennemis de l’avenir démocratique de la Syrie, les ennemis de la paix au Moyen-Orient. Ce sont nos ennemis.

Près de 40 000 personnes massacrées, des milliers d’autres enlevées et torturées. Une population toute entière abandonnée aux mains de ses bourreaux par la communauté internationale. Pourquoi ne fait-on pas pour le peuple Syrien ce qui a été fait pour le peuple Libyen ?

Tout simplement parce que nous sommes en période électorale aux Etats-Unis et que le président Obama est un eunuque. Obama n’a pas de couilles et ce, Bachar Al-Assad, supporté et encouragé par la Chine et la Russie le sait bien.

Pourquoi la Russie et la Chine supportent-elles la Syrie ?

Tout simplement pour ne pas s’opposer directement aux Etats-Unis d’Amérique et ce con de Bachar Al-Assad, associé à l’Iran fait bien leur affaire. Quelle aubaine : un président américain émasculé, une opposition réelle éventuelle à cette présumée superpuissance américaine et son allié Israël. Dans toute cette affaire, en l’absence d’un leadership véritable, seul un terrible silence a répondu l’appel désespéré du peuple Syrien.

Dès que son pouvoir a été contesté, Bachar Al-Assad a entrepris de persuader l’opinion syrienne, ainsi que la communauté internationale, qu’il était confronté à des bandes de criminels et de terroristes islamistes. Histoire d’être plus convaincant il a fait sortir de prison les fous de Dieu syriens. Et, chez les Occidentaux, cette propagande a reçu, hélas, un certain écho et fourni un alibi supplémentaire à l’immobilisme. Ne nous étonnons pas que, dans ces conditions, l’islamisme radical, ne cesse de gagner du terrain en Syrie.

Dix-neuf mois, et 40 000 morts, plus tard, conséquence de l’immobilisme international et du manque de couilles du président Obama, oui, il y a de plus en plus d’extrémistes dans l’opposition syrienne. Chaque semaine, des djihadistes étrangers de plus en plus nombreux commettant des attentats-suicides qu’il nous faut condamner,  viennent renforcer les rangs des combattants de l’opposition syrienne. Et qu’en est-il des insurgés véritables ? Inévitablement, leur vouant allégeance et reconnaissance, ils se tournent vers ces pays qui leur fournissent une aide réelle, qu’elle soit humanitaire, financière ou militaire.

Les gouvernements occidentaux, les Etats-Unis en tête, refusent de livrer des armes à la révolution au prétexte qu’elles pourraient tomber entre de mauvaises mains. Mauvaises mains mon cul ! Nos grandes démocraties, par leur inertie, sous le leadership d’un président sans couilles – chien qui aboie ne mord pas- ont créé leurs propres ennemis et s’en suscitent davantage tous les jours qui passent.

Bachar Al-Assad est un chien, un gangster qu’il faut abattre sans pitié.

À qui ce président sans couilles américain a-t-il demandé la permission pour se rendre en territoire étranger et assassiner Ben Laden dans son sommeil ? À qui ce président sans couilles et ses alliés ont-ils demandé la permission pour se rendre Lybie et permettre que Kadhafi  soit assassiné  en plein jour?

Que la communauté démocratique internationale me prête maintenant une oreille attentive et à tous ceux qui souffrent et désirent combattre ce chien de Bachar Al-Assad et construire une force alternative aux fondamentalistes totalitaristes islamiques radicaux avant qu’il ne soit trop tard.

Il est minuit moins une Monsieur le président et tout ce que Mitt ne peut pas vous dire directement, par peur de perdre la présidentielle, moi, je peut vous l’affirmer et ce catégoriquement, général en chef de mes fesses ! C’est à vous que s’adressent tous ces ennemis de Bachar Al-Assad et des fanatiques islamistes.

JMD

jmdlive@live.ca

https://jmdcommunications.wordpress.com/

http://jmdonline.tumblr.com/

Ask George!

Yes I can!

Even before getting rid of Asshole Bachar Al-Assad, the United States is now training local opposition members how to run a local government free from the grip of the Assad regime.

Remember Sadam? Ask George W., he will tell you how to solve this issue!

 

What the… are we waiting for?

Funérailles de centaines de civils en date du 26 août 2012

A défaut d’intervention en Syrie, les deux derniers mois ont été les plus meurtriers depuis le début du conflit.

La présence, dans le pays, d’un considérable stock d’armes chimiques pourrait-elle fournir la justification à une action militaire extérieure ouverte ?

JMD

Qui va mettre fin au massacre?

“Qu’attendez-vous? Bachar serait-il le seul à avoir des couilles!”

Des centaines de corps empilés, adultes et enfants mêlés, dégoulinants de sang: le massacre de la mosquée Abou Souleimane à Daraya.

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), au moins 330 corps, dont ceux de femmes et d’enfants, auraient été retrouvés dans les sous-sols de Daraya. La guerre que se livrent l’armée et les rebelles a atteint un niveau de violence inégalée,  entre 18000 et 25000 morts dpuis le début du conflit. Mais Bachar Al-Assad, toujours tout sourire,  réaffirme encore: “Je vaincrai à n’importe quel prix”.

Le temps semble, malheureusement, maintenant lui donner raison.

La stratégie de sortie en trompe-l’œil de Bachar el-Assad

Bashar Al-Assad prêt à négocier son départ! J’en doute

L’annonce par le régime d’un éventuel départ du dicateur syrien a surpris les observateurs.Cette possibilité, évoquée par le vice-premier ministre syrien Qadri Jamil, rencontre un scepticisme généralisé dans l’opposition syrienne. En effet, Qadri Jamil fait partie de ces apparatchiks qui servent à donner l’illusion d’un État «normal», alors que le vrai pouvoir est entre les mains d’un clan familial, de ses amis et des services de renseignement de Bachar el-Assad. 

http://www.lefigaro.fr/international/2012/08/22/01003-20120822ARTFIG00485-la-strategie-en-trompe-l-339il-de-bachar-el-assad.php

Abattre Bachar Al-Assad Quatrième Partie

Alain Juppé - Armer la rébellion syrienne risquerait de provoquer une guerre civile et religieuse

Selon Alain Juppé, livrer des armes à l’opposition à Assad risquerait de provoquer une guerre dans la guerre.

“Le peuple syrien est profondément divisé et si nous donnons des armes à une certaine fraction de l’opposition en Syrie, nous allons organiser une guerre civile entre les chrétiens, les alaouites, les sunnites et les chiites, ça pourrait être une catastrophe encore plus grande que ce qui existe aujourd’hui”, a déclaré M. Juppé sur France Culture.

Selon Alain Juppé, la Russie qui bloque toute initiative du Conseil de sécurité de l’ONU sur la Syrie, “fait un mauvais calcul sur le moyen terme”. “Elle nous reproche l’intervention en Libye, elle estime que nous sommes allés au-delà de notre mandat en Libye, ce que je ne pense pas”, a réaffirmé M. Juppé, soulignant également que “la Russie a des intérêts en Syrie”. “Elle vend beaucoup d’armes ou elle a vendu beaucoup d’armes au régime syrien”, a-t-il dit.

“La Russie craint aussi la contagion islamique sur son propre territoire et c’est pour cela qu’elle est hostile à ce qui se passe en Syrie”, a-t-il ajouté, pour expliquer le soutien russe au régime de Bashar Al-Assad.

Enfin une analyse rationnelle!

Abattre Bachar al-Assad Troisième Partie

Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov : « La Russie fait tout en son pouvoir pour mettre fin à la crise syrienne »

Moscou nous prend il pour fou ?

Le gouvernement russe, pour se donner bonne presse, critique le régime de Bachar Al-Assad pour le retard qu’il accuse dans l’application de ses réformes politiques et le met en garde contre un risque d’escalade de la violence. C’est ce que soutient le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, en affirmant que la Russie fait tout ce qui est en son pouvoir pour mettre fin à la crise syrienne.

« Malheureusement, tous nos conseils, et de loin, n’ont pas été suivis d’effets et n’ont pas toujours été mis en pratique en temps voulu, loin de là. » affirme sans sourciller le chef de la diplomatie russe.

Depuis le début de la crise syrienne, la Russie a bloqué deux résolutions à l’ONU qui condamnaient la violence en Syrie. Elle a également rejeté un nouveau projet américain au Conseil de sécurité, la semaine dernière, qui exigeait du régime l’arrêt « immédiat » des violences.

Fuck you Moscou!

Hang the Bastard part Six

Syria's Armed Opposition No Threat to Regime

WASHINGTON — On the one-year anniversary of the uprisings in Syria, U.S. intelligence agencies have concluded that the armed resistance is not able to mount a credible military threat to the regime of Bashar al-Assad. The powerful, Russian-armed Syrian army remains firmly in control behind the Assad regime.

That assessment underlies the Obama administration’s reluctance to become more actively involved in the uprising against Assad that began on March 15, 2011. After a year of sporadic and inconclusive violence against the regime, the White House has flatly ruled out providing arms to the opposition and instead is focusing on coordinating international pressure against the Assad regime and providing humanitarian relief.

President Barack Obama met yesterday with British Prime Minister David Cameron. “Right now we are focused on getting humanitarian aid to those in need,” Obama said after the White House meetings. International economic, political and diplomatic pressure is becoming stronger, Obama said, vowing, “Assad will leave power. It’s not a question of if, but when.” Cameron agreed on the non-military approach. “What we want is the quickest way to stop the killing — that is, through transition, rather than through revolution or civil war,” he said at a White House news conference. While Russia, Syria’s main weapons patron, vowed this week to continue arms sales to the Assad regime, White House officials reiterated that sending arms to the opposition has been ruled out. “We believe it could heighten and prolong the violence in Syria,” said White House spokesman Jay Carney.

Even though the Assad regime has fended off the challenge so far, its long-term future is in doubt, some critics say. In a recent assessment, the International Crisis Group, an independent think tank, wrote that Assad’s days are numbered.